Plèbe.

J'étais inspiré, j'ai écrit un petit poème.

Tu vis sur cette France
qui subit la résurgence des frères .:
Sens son odeur rance
hume la parole de certains pères .:

cette cécité est à ta convenance
souhaitant rompre ses chênes sans y parvenir.
La résultante d'une connivence .:
j'expose mon cœur afin de vous prévenir.

Du sang sur des pavés.
L'enfer de la psychose.
Liberté entravée.
regarde, ils osent .:

Tranchant la lignée des Rois .:
Lumineux simulacre .:
Non franchie ! la paroi.
Nabulio ce massacre! .:

De là découle notre drame
celui que tu subis sans réfléchir.
Troque ton pouvoir contre la trame.
Critique ceux qui déchirent.

Notre âme de citoyen.
Dans le respect des sillons d’antan.
Tu constates ton sort troyen.
Tu ne peux pas être consentant.

Leurs cœurs corrompus te bernent .:
Admet le sans en avoir peur.
ne sois pas leur subalterne.
Vois leur esprit et son aigreur .;

Du haut de leur structure .:
qui n'est pas une tour d'ivoire.
ils veulent la fracture .:
Décide ou non de le voir

Mais ton enfant vivra.
Totalitarisme et guerre.
ça l'annihilera.
réfléchis ça dégénère.